Eh oui, le Terne et sa si grande école, imposante, majestueuse.<br />
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J.y suis passé dans les années 60 avec M. Pitassi, M. Trichot, M. Lefebvre, M. Brelot. M. Dufour était directeur, Mme institutrice, et leur fille en classe. D'excellents souvenirs avec les uns et les autres, moins avec le père Trichot : qui ne l'a pas connu à Wignies?!<br />
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Aujourd'hui, la grosse maison d'angle, qui était celle des directeurs, a été transformée en plusieurs logements, l'entrée n'est plus par la haute porte de la rue des Ecoles.
Pour Mme Henriette Delage: Hélas je suis née le 5 mars 1945 au 40 rue Voltaire. Malheureusement pour moi je reconnais pas vôtre nom comme tel. Mes grands parents maternelle (Fernand Hédon et Céline Fosset-Hédon) vous connaissez certainement. Tout comme ma mère (Yvette Hédon-Seguin) et mon père (Paul L. J. Seguin) propriètaires de l'épicerie du 40 rue Voltaire qui fut fermé à notre départ pour le Canada en juin 1953. Moi javais huit ans...mais je me rappelles de beaucoup de gens qui fréquentés les deux établissements.... Salutation de Montréal JPS.
Je suis née à Wignehies le 29/I2/I928, mon frère allait à l'école du Terne,nous n'habitions pas loin. Mes parents, papa fileur chez Masurel à Fourmies, Maman tenant une petite épicerie pour améliorer l'ordinaire. Monsieur Cappe était notre Maire. J'ai quitte Wignehies le ler Mai 1938, pour aller vivre à Fourmies. J'ai bien connu la boutique Hédon. J'aimerais avoir une réponse à ce commentaire, adressé à Mr Séguin, que j'ai dû connaitre en son temps.
Ohhhh... Mon dieu! Que de souvenirs d'enfance! J'y suis allé de 1950 à 1953 et je me rappelles comme si c'étais hier. Faut dire que j'aimais beaucoup l'école, les cours d'histoires et les jeux. Je me demande aujourd'hui comment ça l'air? C'est sur le coin de la rue que je fut surpris à entendre la vente de notre maison (rue Voltaire)et son contenue. Je ne voulais pas quitter Wignehies... pour le Canada. C'est assez spéciale comme photos et je te remerci Chris pour faire surgir tant de souvenirs, aprés 60 ans! JP
Au fil du temps, découvrez ma région : L'Avesnois,
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Plutôt que de regretter ce qui n'est plus, on doit se réjouir de ce qui a été.
Eric-Emmanuel Schmitt