SAINT-PALAIS SUR MER

Proche de Royan et plus familiale, la petite station balnéaire de Saint Palais S/Mer a beaucoup de charme.

La plage principale est située au cœur de la station.

Une autre plage (non surveillée) est particulièrement pittoresque grâce à son décor de rochers et ses carrelets.

Un agréable sentier des douaniers longe la côte en passant par le phare de Terre nègre que l'on aperçoit au loin.

Le long de ce chemin on peut découvrir un magnifique hôtel ...

... ainsi que de nombreux carrelets.

A SUIVRE

Toutes les photos ci-dessus sont la propriété de l'auteur de ce blog. Elles ne peuvent être utilisées sans le consentement de celui-ci.

CROISIERE EN MER

Durant 2h50, celle-ci nous emmènera de Royan vers le célèbre phare de Cordouan situé à l'entré de l'estuaire. Ensuite on croisera la pointe de Grave, puis le retour en longeant la côte de Meschers à Royan.

On quitte le port ...

... ce qui permet de découvrir la plage de Royan depuis le large.

On croise de nombreuses petites embarcations ...

... et des plus grosses ...

... ainsi que d'autres bateaux de croisière d'une autre compagnie.

Au large on aperçoit la silouhette du phare de Courdouan, gardien de l'estuaire (voir lien).

Nous sommes à marée haute, nous le croiserons néanmoins à bonne distance à cause des bancs de sable.

La mer est formée et les vagues claquent à l'étrave du navire en aspergeant le pont. Au large on découvre la côte Girondine.

Personnellement je n'ai pas eu le mal de mer, mais ce ne fut pas le cas de certains passagers qui heureusement, étaient munis de sacs en plastique.

Nous passons ici à proximité de la pointe de Grave. A droite, on distingue les énormes grues du port du Verdon.

Les navires marchands apparaissent ...

... tout comme le navire qui drague inlassablement le chenal qui mène à Bordeaux.

Au large, des plaisanciers s'en donnent à coeur joie.

Nous nous dirigeons maintenant le long de la côte Charentaise et le flux combiné de la Dordogne et de la Garonne génère un passage à nouveau difficile qui remuera à nouveau très fort le navire.

Entre Meschers sur Gironde et Saint-Georges de Didonne, la côte est très escarpée et pittoresque. Les imposantes falaises calcaires ont été creusées de véritables cités troglodytes. Elles feront à elles seules l'objet d'un autre article.

On y découvre également de nombreux alignements de carrelets...

... Le carrelet est un filet carré d'une superficie de quelques mètres carrés tendu sur une armature plane et descendu horizontalement au moyen d’un treuil depuis un ponton ancré sur pilotis et qui avance en mer. Sur celui-ci est construite une cabane en bois. On en trouve sur tout le littoral de la Charente-Maritime.

Ne se situant pas en bord de mer mais dans un estuaire, la législation est différente. Les cités troglodytes ne font pas partie du littoral et appartiennent à des propriétaires privés. A ce titre, elles peuvent être vendues librement... 

... invisibles depuis la terre, seul le bateau permet de les découvrir.

Le Phare de Saint Georges de Didonne

La croisière se termine. Au loin on  aperçoit l'église N.D de Royan qui domine la ville.

A SUIVRE

Un lien magnifique sur l'historique du phare de Cordouan, cliquer ICI

Toutes les photos ci-dessus sont la propriété de l'auteur de ce blog. Elles ne peuvent-être utilisées sans le consentement de celui-ci.

Comme chaque année, je vous invite à partager mes souvenirs de vacances en France. Cette année, j'étais sur la côte de Beauté qui porte bien son nom. Je vous invite à la découvrir grâce à mes plus belles photos.

A LA DECOUVERTE DE ROYAN

Son port de plaisance peut recevoir 1000 bateaux ...

... et possède également un port de pêche très actif...

  ... ainsi que l'embarcadère du bac à destination de la Pointe de Grave, porte d'entrée de la Gironde et de l'Aquitaine.

Royan possède 5 plages de sable fin. Ici l'immense plage de la Grande Conche.

Détruite par les bombardements alliés en 1945, elle possède un patrimoine architectural représentatif des années 50, ce qui lui vaut d'être classée ville d'art et d'histoire depuis 2010. Ci-dessus le marché central.

L'intérieur du marché central.

L'église Notre-Dame de Royan est considérée comme un chef d'oeuvre de l'architecture moderne.

Le clocher cumine à 60 m.

L'édifice est inauguré en 1958 et on et ne tarde pas à nommer l'église cathédrale. Mais très vite les problèmes d'étanchéité vont apparaître. Le clocher et le beffroi ont été restaurés entre 1994 et 1996. D'autres travaux importants sont actuellement programmés pour plus de 3 millions d'euros (orgues comprises).

Elle a la forme d'une ellipse de 45 m de long et 30 m de large.

A SUIVRE ...

Toutes les photos ci-dessus sont la propriété de l'auteur de ce blog et ne peuvent être utilisées sans son consentement

Au delà de cette rencontre et de son résultat,  ce sont des émotions que j'ai voulu capter sur l'écran de mon téléviseur. Je vous livre ces images en souvenir de cette finale qui fut indécise jusqu'à la 113e minute. Cliquer  ICI pour ouvrir l'album de 69 photos !

Cette belle cpa animée du début du XXe siècle nous montre un aperçu de cette rue qui sera baptisée rue Clémenceau après la première guerre. Curieusement je n'ai pas connaissance de l'ancien nom et jusqu'à présent aucune cpa connue n'y fait allusion. Peut-être était-ce tout simplement la Grand'rue ? Au premier plan on découvre les logements ouvriers de la Verrerie Blanche*, l'immeuble principal existe toujours, par contre, une partie des bâtiments qui suivent ont été détruits (voir photo ci-dessous).

Le bâtiment des anciens logements de la verrerie existe toujours

J'avais eu la bonne idée de prendre cette photo dans les années 70, avant l'implantation d'une supérette (Shopi). Une partie des bâtiments de la verrerie était occupée au paravant par une javellerie (Jules Provost) qui s'installa à cet endroit (vers 1946) et ensuite un atelier de mécanique (Decat) dans les années soixante. Tandis que la partie principale de la Verrerie (située vers le château) sera occupée par un garage de réparation automobiles à partir de 1946.

L'ancienne supérette Shopi porte aujourd'hui l'enseigne "Carrefour-Contact"

Cette photo (unique) nous montre un des bâtiments principaux de la verrerie qui sera détruit par un incendie en 1963. Seul le rez de chaussée d'une des habitations sera en partie épargné tandis que l'étage sera complètement détruit.

(*) Cliquer ICI pour découvrir un de mes articles sur cette verrerie

Mise à part sa rareté, cette cpa vers 1910 ne présente guère d'intérêt. A gauche on aperçoit une partie de l'église. Cette ancienne portion de la rue Jules Hiroux est aujourd'hui la rue Léo Lagrange.

On ne sait pas encore si le Tour de France 2014 sera un bon cru mais en tout cas ce fut une bonne crue lors de son passage dans la région ! Pour l'occasion je m'étais rendu sur place ce mercredi mais hélas rien ne s'est passé comme prévu. Il fallut annuler le passage sur deux secteurs pavés et détourner la caravane de son parcours initial. Heureusement cela n'altéra pas la bonne humeur des spectateurs présents (ici à Templeuve qui porte bien son nom). Mais au delà de l'organisation perturbée par les conditions climatiques, j'ai remarqué qu'à l'exemple des nombreux tours précédents, il manque cruellement de coureurs français à encourager, ceux-ci sont de moins en moins nombreux à pouvoir rivaliser avec les autres concurrents étrangers. Il faut en effet remonter à presque 30 ans pour trouver un vainqueur français (Bernard Hinault).

Voici la gare de Liessies au début du XXe siècle. La ligne à voie unique est créée en 1885 et relie Maubeuge à Fourmies. Elle sera déclassée en 1975. Rachetée par le Conseil Général, la voie entre Ferrière La Grande et Trélon-Glageon sera intégrée à la Voie verte de l'Avesnois en 2003.

La Gare de Liessies est aujourd'hui devenue une habitation.

L'entrée de la Voie Verte de l'Avesnois à Trélon-Glageon