Cette belle "Lapie" des années cinquante m'était inconnue. Je viens de la découvrir sur un site de vente aux enchères. La prise de vue est étonnante car elle nous montre un aperçu peu commun sur deux rues parallèles : La Rue Clémenceau (à droite) et la rue Thiers (à gauche) en ignorant totalement le Centre-ville !
Ce superbe document photographique a été restauré par mes soins. Il date de Mai 1918 et nous montre Le Lazarett Allemand (Hôpital militaire) installé à l'entrée de la Filature du Petit-Glageon, rue Charles Desquilbet.
Le même endroit de nos jours
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J'ai trouvé cette superbe photo sur le site de Claude Lompret à Fourmies. Elle représente la section Ping-pong de l'Association d'Education Populaire de Trélon qui organisait le dimanche 9 Mai 1982, un grand tournoi qui rassemblait une trentaine de joueurs débutants et confirmés. Parmi les membres de cette section ont été reconnus :
De gauche à droite Daniel Guilain, Maurice Fagot, Daniel Minne, L'Abbé Fagnart, Christian Pavot, Pierre Leleux, et Bernard Guilain.
Ci dessous un lien qui retrace l'historique du Club :
Cette photo a été prise cette après-midi sur un parking en forêt de Trelon, route de Liessies. Outre des tôles ondulées en amiante-ciment, on y trouve également des matelas !
A noter qu'une autre décharge sauvage signalée en juin 2018 n'est toujours pas nettoyée !
voir lien si-dessous :
J'ai déjà évoqué dans ces pages l'historique de cette église. Son clocher a aussi son histoire propre, la voici ci-dessous en forme de poême écrit par Auguste Hanon en 1949 :
Le clocher de Glageon.
Sa flèche était debout depuis deux cent trente ans,
Il avait résisté à l'usure des temps.
Et le coq qui là-haut dominait la campagne,
Surveillait les prairies, les maisons et la fagne.
Insouciant et heureux, toujours en mouvement,
Il se faisait guider par la marche du vent.
Et les cloches sonnaient, annonçant au village,
Les deuils, les mariages, les naissances, les offices,
Leur carillon changeant s'en allait dans la plaine,
Emportant les échos de nos joies, de nos peines.
C'est ainsi qu'elles sonnèrent pour un message de gloire,
Quand nos vaillants poilus remportèrent la victoire.
Elles sonnèrent encore et puis ... ce fut la guerre,
Celle qu'avaient voulu nous éviter nos pères !
Aux frontières ils partirent, jeunes, joyeux et confiants,
Hélas ! leur absence devait durer quatre ans.
La vie continua, les cloches sonnèrent toujours,
Et leurs grosses voix de bronze égrenèrent bien des jours
Ou il fallut subir la présence des "vautours"
Qui cymques, en chantant, défilaient d'un pas lourd.
Mais un samedi matin s'éleva dans la la plaine
Le grondement confus de la bataille lointaine.
C'était, nous le savions, l'armée américaine
Qui venait pour chasser les hordes hitlériennes.
Déjà, le coq heureux, voulait crier victoire !
Quand soudain sur la place s'arrêtèrent deux barbares.
Ils grimpèrent au clocher, y demeurèrent à peine,
Et déjà de longues flammes s'élevèrent dans le ciel.
Les poutres centenaires ne furent en un instant
Qu'un énorme brasier pétillant et fumant.
Les cloches s'éffondrèrent dans un fracas terrible,
Et les vitraux claquèrent. Oh! comme c'était horrible.
Les cloches ne sonnèrent pas pour la Libération,
Mais le jour n'est pas loin où la population
réunie toute au pied de la tour restaurée,
Verra dans le soleil briller sur le clocher,
Un coq resplendissant et tout empanaché.
Et entendant alors sonner le gros bourdon,
En ce beau jour de fête, tous en choeur, nous crierons :
Nous avons retrouvé le clocher de Glageon.
NDLR : Ce poême a été dactylographié plus ou moins bien. il est donc possible que des erreurs de transcription ou d'ortographe soient présentes.
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A cette époque de nidification, les Choucas des tours sont nombreux à venir me rendre visite. Alors que sa cousine la Corneille considérée comme nuisible peut être détruite, ce n’est donc pas le cas du choucas, qui est une espèce protégée. Ses yeux ont la particularité de posséder un iris blanc, particulièrement visible. Mâle et femelle sont rigoureusement identiques et sont fidèles tout au long de leur vie.
Cette cpa rare du tout début du XXe siècle est remarquable. En effet, elle nous offre une animation peu commune de cette rue commerçante. On remarque la présence d'un attelage au centre ainsi qu'un attelage de chien à droite qui transporte des cannes à lait sphériques. A l'angle de l'actuelle rue JP-Dupont (au centre), on s'aperçoit que l'Hôtel-Restaurant du Commerce n'est pas encore construit, alors qu'il figure sur une autre cpa légèrement plus récente vers 1910 (voir ci-dessous).
Sur cette autre cpa vers 1910, on s'aperçoit que l'Hôtel-Restaurant du Commerce est construit.
L'Hôtel-Restaurant du commerce peu de temps après sa construction.
Le même endroit de nos jours
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