Une fois de plus, j'ai colorisé cette très belle carte postale ancienne vers 1920 qui n'est pas très courante et je suis content du résulltat. La prise de vue est remarquable ainsi que l'animation.

Un siècle s'est écoulé et bien sûr beaucoup de choses ont changé. La chaussée et les trottoirs occupent la moitié de la photo. Sécurité oblige !

J'ai pris cette photo ce matin sous la fenêtre extérieure d'une chambre à l'étage. En effet, depuis que nous habitons cette maison, nous avons toujours observé des chauves-souris qui tournaient jadis autour de la maison pour se nourrir d'insectes durant l'été. Il arriva même un jour, qu'après une chaude soirée d'été, alors que la fenêtre était ouverte, que ces inoffensifs chiroptères entrent dans la chambre durant notre sommeil. C'est le bruit de ce vol au dessus de notre lit qui une nuit nous réveilla. Chacun pourra alors imaginer la scène de panique qui suivit cette intrusion pour le moins imprévisible ! Combien étaient-t-elles ? Sur le coup nous en vîmes deux que nous avons pu faire ressortir tant bien que mal, par où elles étaient entrées; mais nous avions l'impression que l'une d'entre-elles s'était cachée quelque-part en ayant pris peur de la lumière et peut-être aussi de nos cris !

Après avoir examiné les différents endroits de la chambre, et que nous ne trouvions pas un autre "exemplaire", mon épouse et moi s'allongèrent au sol pour découvrir sous le lit un troisième volatile accroché sous le sommier métallique du lit ! Celui-ci fut  décroché et incité à quitter la chambre afin de s'en aller lui aussi par où il était entré.

Chacun comprendra que cette nuit là, nous n'avons pas pu retrouver le sommeil ! Qu'en est-il aujourd'hui ? 

L'hiver les volatiles sont toujours présents dans la boite à volet. C'est d'autant plus incroyable que le volet est régulièrement ouvert et fermé et donc sensé provoquer un dérangement. Pourtant, durant toute cette période hivernale, au moins deux exemplaires séjournent là à l'abri (coté est). Aujourd'hui et comme à leur habitude, elles sortent de leur refuge et commencent à prendre l'air sous le châssis de fenêtre. (voir photo).

Depuis, même si elles sont moins nombreuses qu'autrefois, les nuits d'hiver, nous entendons souvent du bruit dans les boites à volet, c'est là qu'elles aiment s'abriter et nous en avons pris l'habitude. D'ailleurs, nous n'avons pas le choix,  car même en ouvrant le volet le matin, elles restent dans cette boite. Sans doute y trouvent-elles la nourriture nécessaire, notamment des insectes  pour hiverner à l'abri du vent, de la pluie et du froid. Bien sûr, depuis, nous ne dormons plus la fenêtre ouverte, mais simplement avec le volet roulant ajouré.

 Saint-Pansart c'est demain ! A cette occasion, je diffuse cette très jolie carte-photo qui compte parmi les plus anciennes éditées (vers 1920). En effet, on doit ce cliché au photographe Trélonais Narcisse Leroy dont le studio-photo était installé dans cet immeuble (coté gauche) rue Clémenceau, tandis que le coté droit était réservé à un coiffeur. Merci à Guy Degrelle qui m'a permis de diffuser ce beau document photographique ancien.

Le même immeuble de nos jours

J'ai colorisé cette jolie photo des années 50 qui nous montre un bel aperçu depuis l'entrée du château. Au fond on remarque la présence de l'épicerie Hallin.

Pris sous un autre angle, cet aperçu contemporain nous montre que de nombreux changements sont intervenus depuis : A droite, une partie de la Place est devenue un parking, tandis que certains immeubles ont disparu pour faire place à des logements locatifs à droite et à gauche du bâtiment central qui lui aussi a été divisé en appartements.

J'ai colorisé cette belle cpa animée des années trente dont le cliché a été réalisé par le photographe Trélonais Drouart. Autrefois, rue du Ruisseau, elle a été rebaptisée rue Hector Dufresnes.

Lien connexe :

GLAGEON - La Rue du Ruisseau - CHRISNORD TRELON (Nord)

Cette cpa date du début du XXe siècle. Le cliché a sans doute été pris depuis l'étage d'une maison située en face. On découvre une partie de cette rue dans laquelle le Rieu des hameaux est partiellement souterrain. Cette autre cpa date de la même époque que la précédente.

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Le véhicule de dépannage du Garage PAVOT-Fils en 1980

Toutes les cpa qui suivent ont été colorisées par mes soins. Elles concernent l'usine des Ets Achille Falleur vers les années vingt. Ce Tissage sera repris ensuite par son fils Maurice en 1936 et fermera ensuite définitivement vers les années 60. Cette friche industrielle importante sera ensuite transformée en Zone artisanale par la ville.  

Combien de personnes salariées figurent sur cette CPA ?

 La Salle de tissage

La Salle qui fournissait l'énergie nécéssaire aux métiers grâce à la machine à vapeur.

L'Atelier de rentrayage 

C'est dans cet atelier qu'étaient réparées les pièces d'étoffes qui avaient reçu pendant les apprêts quelques déchirures. Ce travail était surtout réservé aux femmes.

 Ici c'est une vue aérienne colorisée de l'usine lorsque la cheminée fumait encore vers les années 50.

Bien qu'étant déjà parue dans ces pages dans sa version d'origine (voir lien ci-dessous), cette extraordinaire carte-photo très animée date du début des années trente. Elle  prend ici une autre dimension et retient davantage l'attention après avoir été colorisée. Bien sûr je ne garantis pas l'authenticité des couleurs, mais j'ai fait en sorte que celles-ci approchent le plus possible la réalité de cette époque. 

Lien connexe : 

TRELON - La Rue Aristide Briand *** - CHRISNORD TRELON (Nord)

J'avoue que lorsque j'ai été confronté à cette superbe carte-photo répertoriée comme faisant partie de Trélon, je fus très perplexe. J'ai même pensé un instant qu'il y avait là une erreur ! Mes doutes furent vite levés lorsque je découvris que le verso faisait apparaître un cachet avec la mention "Photo Drouart Trélon".

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