Cette Brasserie-Malterie date de la première moitié du XIXe siècle. Elle fut ensuite reprise par la famille Bernard-Lemaire en 1927 puis Bernard-Champagne en 1946  pour devenir ensuite dépositaire de boissons  dans la seconde moitié du XXe siècle (Vieville-Pavot et Sté SOGEDIB). L'ancienne brasserie et les entrepôts ont été vendus à une Société de Pompes Funèbres.

Ci-dessous, la Brasserie telle qu'elle est aujourd'hui

Une partie des entrepôts a été reconvertie en funérarium d'un accès facile et doté d'un grand parking  

Ci-dessus une cpa  de ce calvaire dans les années cinquante.Il est érigé à partir de 1725 pour remercier Notre-Dame de MontaIgû de l'exaucement d'un vœu. Un pèlerinage s'y déroule dès la fin du XVIIIe siècle. Il sera renforcé dans ses fondations au XIXe siècle par 4 gros piliers de pierre bleue taillée. Il est coiffé  d'une toiture à quatre pans sur une imposante charpente en chêne massif. Du haut de ce récif corallien, Il domine toute la localité ainsi que la carrière située juste à côté.

Pas de changements sur cette photo prise aujourd'hui. Le calvaire est toujours parfaitement entretenu

De là-haut on domine tout le village. Au fond l'imposante forêt de Trélon.

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Un beau panorama du village avec la forêt de Trélon en toile de fond

Voici une nouvelle cpa de cet endroit vers 1900. C'est l'hiver et les deux enfants sont chaudement vêtus. Au fond à gauche la maison forestière et l'orée de la forêt, d'où sans doute le nom de"Gueule du loup".

Située dans le centre du village, face à la rue de Fourmies, cette ferme, dans les années vingt, était une des plus modernes de la région et fabriquait du Maroilles de qualité souvent primé dans les concours. Je me souviens que dans les années cinquante, M. Burelle avait fait installer un système permettant de diffuser de la musique dans son étable, dans le but d'améliorer sensiblement le rendement en lait de ses vaches.