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Pour ce second PPS, j'ai choisi de vous montrer ce splendide montage de 77 diapos. Il suffit de cliquer sur chacune d'entre-elles pour le faire défiler.

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Depuis la création du blog, je n'ai jamais eu l'occasion d'éditer une seule carte postale du village, pour la simple raison que je n'en ai jamais vu ! Willies ne possède pas d'église, la paroisse dépend de la commune voisine de Liessies.  Venant de Trélon ou Solre le Château, c'est un lieu de passage obligé pour accéder au Lac du Val Joly. A noter que l'ouvrage de retenue d'eau se situe sur son territoire. J'ai pris récemment quelques photos et j'ai créé une nouvelle rubrique pour cette petite commune qui compte environ 160 habitants.

Un ami "Facebook" vient de mettre en ligne ces deux photos et s'interroge : "Prospection"... ?

Sur ces photos on aperçoit la Cité du Calloit (Trélon) et la Cité Bel Air (Glageon). Ceci me ramène à mon article du 19 juin de cette année dans lequel je m'interrogeais sur le projet d'extension de la Carrière Bocahut (Glageon) sur le territoire de Trélon avec la modification du PLU et la mise en place d'une concertation en mairie où je m'étais rendu.

Qu'en est-il aujourd'hui ? Quel est le résultat de cette concertation ?

Lien connexe : http://chris59132.canalblog.com/archives/2014/06/19/30072911.html

A SUIVRE ... 

 AJOUT DU 10 décembre 2014

NB : L'archéologie préventive a pour vocation de préserver et d'étudier la présence significative d'éléments du patrimoine archéologique qui pourraient être menacés par des travaux d'aménagement. Elle peut impliquer la mise en œuvre de diagnostics archéologiques à la suite de sondages, de fouilles préventives et, dans certains cas, des mesures de sauvegarde qui pourraient être prises.

Nous sommes en 1931 et rares sont les photos d'enterrements à cette époque. Ce cliché de professionnel a vraisemblablement été pris à l'occasion des obsèques d'un notable de la ville. La dépouille est conduite en une longue procession depuis l'église jusqu'au cimetière. Tandis que le corbillard est passé ainsi que le prêtre, suivent les hommes membres de la famille du défunt précédés par les enfants de choeur et le Suisse muni de sa hallebarde. Plus loin, on aperçoit le groupe des femmes devant les personnalités locales, les associations. Puis le cortège funèbre prend fin avec la population venue nombreuse, voisins et amis, pour manifester leur sympathie à la famille.

A propos du deuil : A cette époque la durée du deuil était variable, selon que l'on était homme ou femme ! (Un an pour le veuf et deux ans pour la veuve). Durant la première année, la veuve ne devait porter que des vêtements de couleur noire. Durant la seconde année, les règles établies autorisaient à se vêtir avec des couleurs dites de "demi deuil", telles le mauve ou le gris. Le veuf  portait généralement des vêtements sombres ou un  bandeau noir autour du bras. Pour ma part, dans les années soixante, j'ai connu, l'étoffe de  crêpe noir sur le revers du veston ou du manteau. A partir des années 70 ces signes distinctifs disparaîtront définitivement.