J'ai pris cette photo récemment avec mon petit pocket Canon digital IXUS 11015-12.1 méga pixels. Je possède celui-ci depuis une dizaine d'années. J'adore cet appareil polyvalent peu encombrant, qui est d'une simplicité enfantine. C'est grâce à lui que toutes les photos personnelles de mon blog ont été éditées, y compris celle-ci, prise récemment dans mon jardin. 

Cet appareil photo d'un prix très accéssible à sa sortie se négocie parfois en occasion, jusqu'à 150 euros aujourd'hui !

 J'ai capté ce très joli coucher de soleil hier soir depuis chez moi.

Merci à Guy Degrelle qui m'a fait parvenir cette photo de presse. Elle aurait été prise à l'occasion de Noël en 1964. Sauf erreur, ont été reconnus (de gauche à droite) : Jean Lagneau,(2ème), Marcel Bondeaux (4ème). Pour ma part je crois avoir reconnu Gérard Fatoux (5ème).

Merci à mon ami René Letourneur qui m'a transmis cette photo que j'ai restaurée. Elle a été prise rue Clémenceau, au croisement de la rue de la Gare,  à proximité de l'habitation de ses parents. Elle date sans doute du 2 septembre 1944, lors de la Libération de Trélon (voir lien ci-dessous)

Lien connexe :

TRELON - Libération du 2 septembre 1944 *** - CHRISNORD TRELON (Nord)

Sur cette photo prise rue Clémenceau, on aperçoit bien une colonne de militaires américains sur le trottoir à gauche, tandis qu'un char allemand vient d'être neutralisé. Toujours dans la même rue, on peut voir un char américain à hauteur de l'estaminet de La Brouette et du Garage Foulon.

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Merci à JP-Foulon qui m'a envoyé cette coupure de presse qui date de 1966. Sur celle-ci on peut lire : " Le Comité du Club Saint-Exupéry a mis la dernière main à la préparation de son "bal de la jeunesse" qui se déroulera à la Salle des Fêtes de Trélon. 

Parmi les membres présents à cette réunion, et sauf erreur de ma part, ont été reconnus :

En haut (de gauche à droite) : Jean-Jacques Lannois, Gérard Bosquet, Bernard Druine, ?, ?, Michel Nachbauer, Richard Andrezjewski , Christian Pavot.

Au premier rang (assises) : Daisy Delpierre, Thérèse Divry, Michèle Ramette, Charline Nachbauer, Arlette Noyelle. 

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année 1964

A Trélon en 1964, le départ de l'Abbé Dhouailly fut un coup dur pour les jeunes. Qu'allait devenir "Le Cercle Saint-Exupéry", émanation de l'ancien "Cercle des Jeunes", créé par l'Abbé Lussigny, qui existait au même endroit dans les années cinquante. Ce sont les jeunes eux-même qui décidèrent de continuer.

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AVERTISSEMENT : Pour ceux qui le désirent, je possède une autre boite mail sur laquelle ils peuvent me joindre. Ma boite mail initiale : ch.pavot@hotmail.frrrefonctionne mais certains messages envoyés à cette adresse avant maintenance ont peut-être été éffacés. 

SECONDE ADRESSE : chris.pavot@orange.fr

 L'abbé Lussigny devant le château de Montcornet auquel il a consacré plus de quarante ans de sa vie.

Un célèbre cinéaste a même porté à l'écran ses souvenirs de collégien dans le célèbre film Au revoir les enfants, sorti en 1987. Il n'avait qu'une douzaine d'années lorsqu'il a fait la rencontre de l'abbé Bernard Lussigny. C'était au collège d'Avon, en Seine-et-Marne. « En septembre 1943, j'ai téléphoné au directeur du collège d'Avon. Il m'a dit vous pouvez venir, mais il faut que vous sachiez qu'on protège des juifs », se souvient l'abbé Lussigny.

Jamais plus de 7 ans :
Issu d'une vieille famille de Valenciennes (où il est né le 3 février 1921), Bernard Lussigny ne se doutait sûrement pas, dans sa jeunesse, qu'il ferait une aussi longue carrière dans l'enseignement. "J'ai été foutu deux fois à la porte du collège parce que je chahutais ", confesse-t-il.
Entré au grand séminaire de Saint-Sulpice, à Paris, en 1942, il ne sera ordonné prêtre que sept ans plus tard, à Cambrai :

"La faute à la guerre et à un service militaire dont il garde un souvenir ému. On m'a envoyé à Dellys, en Algérie. J'étais tellement bien là-bas qu'au bout de six mois, j'ai rempilé. Avec mon capitaine, on a fondé une maternité sur place ".

Le pli est pris : partout où l'abbé Lussigny passera, il laissera une trace durable. A Maubeuge, en 1954, après avoir assisté à un congrès de l'abbé Pierre, il se lance dans le relogement des sans-logis.

A Trelon, il crée une maison de jeunes. L'abbé ne reste jamais plus de sept ans au même endroit. Il l'a décidé ainsi. Et, à l'occasion de ses différents septennats, les jeunes dont il a la charge vont découvrir un homme d'église pour le moins atypique, passionné de mécanique et de vitesse.

Une soixantaine de voitures :
Avion, moto, voitures : Bernard Lussigny essaie tout.
« J'ai fait du planeur et de l'avion à Maubeuge, où j'ai aussi recréé le moto-club. Quant aux voitures, j'en ai eu une soixantaine, dont une Bugatti et une Aston Martin ».

En 1959, il découvre le château de Montcornet. Un an plus tard, il le rachète à la comtesse de Caumont-La Force.
« Avec mes élèves, on allait fouiller des ruines depuis vingt ans. Je me suis dit qu'il y en avait marre d'aller fouiller chez les autres ».
On connaît la suite et l'énorme travail qui a conduit à la réhabilitation de ces vestiges, avec le soutien du 3e Génie et de la mairie.
Handicapé d'une jambe à la suite d'un accident de voiture, l'abbé Lussigny ne fouille plus.

« Je ne peux pas me mettre à genoux. C'est bête dans mon métier », glisse-t-il dans un sourire.

Bernard GIRAUD

NDLR : J'ai bien connu et servi ce prêtre atypique à Trélon lorsque j'étais enfant de choeur. J'ai aussi le souvenir de la création du "Cercle des jeunes" dont-il fut l'initiateur. Je me souviens effectivement qu'il fut le propriétaire d'une "Bugatti" qui aurait appartenu au célèbre pilote automobile Jean-Pierre Wimille qui courait alors pour l'écurie Bugatti, notamment aux 24 heures du Mans !

J'ai pris cette photo du côté du Champ d'Asile le 3 août.  Ce rassemblement d'hirondelles, en vue de gagner l'Afrique, semble néanmoins prématuré. Habituellement on l'observe  plutôt début septembre. Toujours est-il que leur nombre diminue régulièrement, en effet, 40% d'entre-elles ont disparu en France en 20 ans.

Sur une plage en 1896 - Filmé par les frères Lumière :

Un film avec des images impressionnantes restaurées et colorisées par Intelligence Artificielle, puis sonorisé.