Suite à mon article d'hier, voici un autre accès utilisé par certains automobilistes pour se rendre dans cette propriété privée. Cette photo a été prise hier et nous montre l'incroyable inconscience de ces personnes qui, en stationnant de la sorte, empêchent le passage de secours éventuels en cas d'accident, et l'accès du propriétaire qui ne peut lui non plus pénétrer chez lui ! C'est pourquoi, au regard de ces incivilités, je n'ai pas "flouté" les plaques d'immatriculation comme la loi l'exige. 

Cette autre photo a été prise au même endroit près des véhicules. On peut, rencontrer, ici  et ailleurs, les "encombrants" et autres détritus laissés par d'autres  visiteurs sans scrupules. 

Hier après-midi je me suis rendu à cet endroit, ou du moins j'ai tenté de m'y rendre, car à ma grande surprise le lieu était inaccessible, occupé qu'il était par de nombreuses voitures particulières et surtout par un important dispositif de gendarmerie. Selon des témoins, il apparaît qu'un grand nombre de véhicules stationnent de manière anarchique à cet endroit, afin de permettre à leurs propriétaires de rejoindre à pied un endroit (1) situé dans la forêt toute proche. Le but des gendarmes était donc d'attendre le retour des propriétaires de ces véhicules afin d'une part, de les contrôler, et d'autre-part les informer de la gêne occasionnée pour les riverains, et au besoin, verbaliser certains d'entre-eux pour stationnement gênant. 

(1) - Il s'agit d'une propriété privée 

J'ai pris cette photo ce matin près de la porte d'entrée de la maison. Ce n'est pas la première fois que je publie une photo de ce petit animal fragile, objet de croyances et préjugés infondés. En effet, la chauve-souris est bien loin de l’image du Vampire à laquelle on l’associe depuis toujours. Elle n’a cessé de subir de plein fouet les agissements de l’homme à l’origine de la destruction des milieux naturels. Aujourd’hui, chez nous en France, la chauve-souris est protégée par la loi du 10 juillet 1976, ainsi que son habitat. C'est un juste retour des choses pour ce mammifère souvent persécuté et qui est pourtant d’une grande utilité. C'est pourquoi la loi interdit strictement à toute personne de les déranger, de les capturer, de les détruire et de les mutiler.  j'ai bien sûr laissé l'animal à la place où il était. Cependant, et compte tenu de la chaleur actuelle la nuit, je conseille néanmoins de fermer les ouvertures de la chambre ou mieux, d'y installer une moustiquaire. C'est ce que j'ai fait depuis longtemps. 

Ma messagerie a été piratée hier. Prière de ne pas tenir compte des messages que certains d'entre-vous ont pu recevoir. 

Dernièrement, j'ai eu l'occasion de me rendre dans les Weppes. A deux pas de l'agglomération lilloise, on découvre un patrimoine champêtre préservé. L'itinéraire est adapté aux cyclotouristes occasionnels. Les Weppes, c’est une sorte d'immense Jardin Public avec ses arbres remarquables, ses villages fleuris, ses parcs et ses chemins ou encore ses étangs, comme à Aubers, où calme et sérénité règnent à loisir. Ancienne châtellenie de Lille, les Weppes s’étirent harmonieusement entre la Lys et la Deûle. Sans dépasser les 50 m d’altitude, le talus des Weppes, joliment boisé, se distingue nettement dans le paysage. Cimetières et mémoriaux parsèment ce paysage marqué à jamais par les deux Guerres Mondiales.

 A gauche, à proximité de l'église, On peut visiter le Musée de la bataille de Fromelles.

L'entrée du Cimetière militaire de Fromelles

Vue intérieure du cimetière militaire 

A Fromelles, le Pheasant Wood Cemetery, le VC Corner, le musée de la Bataille franco-australienne comme plusieurs cimetières allemands témoignent de l’âpreté des combats du conflit 14-18La bataille de Fromelles (19-20 juillet 1916) qui constitue un épisode bref et sanglant de la Grande Guerre sur le front Ouest. Déclenchée en appui de la Bataille de la Somme qui a été lancée le 1er juillet, 80km plus au sud, par les Français et les Britanniques, elle aboutit, en 24 heures, à un échec complet pour les forces britanniques et australiennes ; pour ces dernières, il s’agissait du premier engagement en France. Le bilan dit bien la brutalité de la guerre industrielle, celle de l’artillerie et des mitrailleuses : 2 000 Australiens tués ou disparus, 3 500 blessés et prisonniers, 1 500 Britanniques hors de combat ; les Allemands, en position défensive, dénombreront 1 600 morts et blessés. 

A proximité on peut aussi découvrir ce monument

La statue des cobbers est signée Peter Corlett. Elle date de 1998. Elle représente le sergent australien Simon Fraser qui risqua sa vie pour ramener du no man's land un frère d'armes qui lui criait de ne pas l'oublier.

 Ci-dessous quelques photos prises à l'intérieur du Musée :

 F I N

Cette très jolie photo (retravaillée par mes soins), nous montre les premiers bains de mer en 1920. il y a tout juste un siècle !

Cette photo nous montre ce qui semble être un engin spatial ! En fait, il s'agit du château d'eau fraîchement repeint et photographié par mes soins sous un angle inhabituel depuis le Mont de Baives.

J'ai apporté quelques couleurs à cette ancienne carte postale. Celle-ci nous montre un bel aperçu sur le petit village au début du XXe siècle.

 Maurice Falleur est né à Trélon le 13 août 1896. Il collabora avec son père Achille Falleur, à la direction de l'usine textile implantée rue François Ansiau et lui succédera ensuite. Durant la guerre 1914-1918, il fut blessé, alors qu'il servait dans l'aérostation. De retour à la vie civile, il reprit son activité professionnelle et se maria. De cette union naquirent 6 enfants : Un garçon et cinq filles, dont une trouvera la mort dans un tragique accident d'avion en 1959. Maurice Falleur fonda le Syndicat patronal textile de Fourmies-Cambrésis en 1936. En 1942, il fut désigné  membre de la Chambre de Commerce et d'industrie d'Avesnes sur Helpe, et sera confirmé dans cette fonction après la libération. Il sera ensuite élu Vice-président de 1962 et 1967. Il fut aussi le Président du Conseil d'administration de "La Maison des Enfants" de Trélon ainsi que Conseiller à la Banque de France de Maubeuge. Il fut aussi trésorier de la Sté Industrielle de Fourmies. En 1963, il sera décoré de la croix de Chevalier de la Légion d'Honneur. Il décédera à Trélon en 1977 à l'âge de 81 ans.

La superbe cpa ci-dessus a été remaniée par mes soins. Elle date du début du XXe siècle et nous montre que l'Institution Saint-Pierre (créée en 1895), possédait une section agricole, au sein de laquelle le fauchage était enseigné.

(clic sur l'image pour l'agrandir)