Au début du XXe siècle, les pionniers de la photographie ne manquent pas de talent ni d'imagination. La preuve avec cette très belle cpa nocturne, réalisée à partir de la même prise de vue, ayant fait l'objet de la cpa "originale" ci-dessous.

Cette cpa plutôt rare en l'état nous montre un aspect de cette rue vers le milieu des années trente. A gauche deux véhicules "Citroën Rosalie" sont stationnés à proximité d'une borne directionnelle "Michelin". A droite le Café de la Poste. Au fond on aperçoit la "Maison Falleur" qui vient à peine d'être terminée.

Lien connexe :

TRELON - La Rue Aristide Briand - CHRISNORD TRELON (Nord)

Cette jolie cpa, plutôt rare, date du début des années cinquante. La prise de vue a été réalisée depuis la rue A. Briand dans le carrefour de la route de Chimay à gauche et de la route de Fourmies à droite. On note la présence d'une borne d'angle Michelin* qui n'était pas très pratique pour les automobilistes.

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Cette superbe photo "révolutionnaire", prise à l'occasion d'une fête des Écoles, a déjà été diffusée dans ces pages le 29/11/2017, mais peu de jeunes filles avaient alors été identifiées. Aujourd'hui, grâce à Monique Bertrand de Trélon, d'autres élèves ont été reconnues et deux nouvelles photos peuvent être ajoutées ci-dessous  :

Annie Hermange, Thérèse Jouniaux, Jacqueline Thirez, Monique Jouniaux, Christiane Payen, Thérèse Granata, Jocelyne Spilmont, Annie Smith, Lucienne Denimal et Jeannine Divry.

Cette première nouvelle photo nous montre ces quatre copines photographiées à part : Annie Hermange, Thérèse Jouniaux (Epouse Baudet) et Jeannine DIVRY (à droite), cette dernière n'étant autre que ma Belle-sœur !

Sur cette seconde photo inédite, ont été reconnues (de gauche à droite) : Thérèse Jouniaux, Michèle Joiris et Nicole Lagneau. La scène a été photographiée dans la cour de récréation de l'Ecole maternelle. C'est à cet endroit, après avoir défilé à bord des chars dans les rues du village,  que les différents groupes des deux écoles avaient rendez-vous pour se produire en public sur un podium. Ce spectacle clôturait ainsi l'année scolaire. 

Cette superbe photo est sensée représenter une classe de l'école des filles de Trélon. Je l'ai trouvée sur un site de vente aux enchères (Ebay). L'année n'est pas spécifiée mais je pense qu'il s'agit des années trente au regard des tenues vestimentaires. On remarque également les détails d'une partie du bâtiment mais ceux-ci ne permettent pas d'identifier formellement l'école actuelle, à moins qu'elle ait subit des transformations importantes depuis. Un autre élément pourrait également permettre d'authentifier la provenance : Il concerne la reconnaissance physique de ces jeunes-filles par leur descendance. 

Cette carte postale nous montre une partie des bâtiments administratifs du Centre du Bois peu de temps après sa construction. Voulu à la fin des années 80 par le maire actuel François Louvegnies et Daniel Barbet qui était alors Proviseur du Collège, le Centre conçu initialement pour développer la filière "bois" (1) dispensera surtout des formations professionnelles et continues pour adultes (en qualité d'annexe du Lycée de Fourmies). Ensuite il fut décidé de rassembler l’ensemble des formations "bois" du centre de Trélon sur le site principal de Fourmies réhabilité.

Le site de Trélon n'étant plus utilisé, et après son incendie de 2004, celui-ci fera alors l’objet de dégradations régulières. La commune de Trélon sollicitera alors la Région afin qu’une cession du foncier soit engagée et fera appel à l'Etablissement Public Foncier afin qu’il procède à l’acquisition du site de 5528 m²  et en assure le portage foncier en 2015.

Vu l’emplacement du site à proximité des quartiers résidentiels et de son accessibilité, la commune envisagera un temps, la réhabilitation du site en vue d’y réaliser une micro-crèche et un relais "Assistantes maternelles".

Aujourd'hui le site pourrait accueillir une nouvelle caserne de Gendarmerie (lettre trimestrielle n°66).

(1) - L’objectif etait en effet, d’atteindre 20 % de la construction neuve dans la région en utilisant totalement ou partiellement le bois.

« Toutefois, expliquera le Président du Conseil régional, ce pourcentage ne pourra être atteint qu’en utilisant autre chose que des bois d’importation coûteux en transport, donc en carbone. » (2010). 

Ci dessus et dessous, une vue récente des bâtiments épargnés lors de l'incendie.

(A suivre ...)

Cette belle cpa partiellement colorisée date probablement du tout début des années cinquante.

(Pour agrandir : Clic droit "ouvrir dans une nouvelle fenêtre")

Il y a quelques années j'ai trouvé la photo de cette plaque émaillée commerciale qui était à vendre sur internet. Je la partage avec vous aujourd'hui. Elle concerne le Menuisier Edgard Joiris qui était installé rue Clémenceau et qui exerça son métier jusqu'aux années soixante (environ). Un autre menuisier : René Legay, exerçait également dans cette même rue à cette même période. 

Cette belle cpa du tout début du XXe siècle nous montre une nouvelle et très jolie prise de vue depuis la Place de la Piquerie, en direction de La Rue Thiers.

Lien connexe :

TRELON - La Place de la Piquerie - CHRISNORD TRELON (Nord)

Voici trois cpa qui nous montrent différents aspects de cette place au début du XXe siècle. L'électricité n'a pas encore fait son apparition, seuls quelques réverbères à gaz éclairent difficilement l'endroit. Au fond, à gauche, on aperçoit le lavoir de la fontaine. Vers 1930, les poteaux électriques en béton font leur apparition.

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Je viens de retrouver ce négatif de film 24x36 des années 70 en très bon état, comme s'il venait d'être développé aujourd'hui. Il témoigne d'un passé photographique révolu mais qui techniquement était de très bonne qualité pour cette époque. Après le départ d'Henri Bongibault, son commerce sera repris par Claude Wambecq pour disparaître ensuite définitivement avec l'arrivée des premiers appareils photo numériques dans les années 80.  

Lorsqu'il était encore question il y a deux ans, de la réhabilitation de la Maison Ténart !

(Bulletin Municipal du 24/11/2016)

NDLR : Parfois, l'un des sentiments les plus accablants est de ne pas savoir s'il faut attendre ou abandonner. Mais pour un tas de raisons, il faudra bien prochainement prendre une décision définitive et abandonner la politique de l'autruche en annonçant une bonne fois pour toutes un vote sur ce sujet et non des souhaits à l'unanimité comme il est indiqué plus haut dans ce bulletin.