Les Journées Européennes du Patrimoine 2017
Dans le Hall de L’EHPAD du Chemin Vert : Pour l’expo du Centenaire, affichage de tous les “Avis aux Trélonais” au cours de la période novembre 1916 – octobre 1917. Les personnes intéressées par le fichier pdf correspondant peuvent déposer leur demande écrite devant l’accueil en précisant bien leur adresse électronique.
AVESNES SUR HELPE - La déshérence ?
NDLR : Cette étude a été réalisée par Atlantico.fr et publiée le 13 septembre 2017 sur son site
AVESNES SUR HELPE : Un espace rural en déshérence !
Comment le taux de pauvreté des communes de plus de 1000 ménages révèle que la misère ne se limite pas aux banlieues françaises
Ce sont les territoires auxquels tout un chacun pense en premier, lorsque l’on évoque la pauvreté en France. Parmi les 20 communes affichant le plus fort taux de pauvreté, sans surprise, six d’entre elles, bien connues de nos concitoyens, se situent en banlieue parisienne, dont quatre en Seine-Saint-Denis (Clichy-sous-Bois, Aubervilliers, La Courneuve et Saint-Denis), une en Essonne (Grigny) et une autre dans le Val d’Oise (Garges-lès-Gonesse). Ensuite, figure dans cette liste, pas moins de cinq arrondissements de Marseille, du centre et du nord de la ville, témoignant de la très forte paupérisation locale, la métropole marseillaise étant bien moins peuplée que la métropole parisienne. Enfin, nous retrouvons la commune la plus populaire de l’agglomération lilloise, Roubaix, qui défraie régulièrement la chronique pour ses problèmes sociaux. Le principal point commun de ces communes est d’accueillir une très forte immigration internationale d’origine extra-européenne, soit les populations les plus fortement touchées par la pauvreté.
Le second type correspond à des communes, plus faiblement peuplées, se situant en-dehors des grandes métropoles, concentrées principalement dans le nord-est du pays. La plupart d’entre elles sont inconnues du grand public, comme des universitaires spécialistes de la pauvreté, qui ont une fâcheuse tendance à associer la pauvreté uniquement aux banlieues, à l’exception notable d’un chercheur comme Michel Pinçon, originaire des Ardennes, qui sait pertinemment que la pauvreté ne se localise pas uniquement dans les banlieues des grandes métropoles. Parmi les communes les plus touchées par la pauvreté, se retrouve quatre communes de l’est du département du Nord, dont trois doivent leur malheur à Usinor, qui a fermé ses unités sidérurgiques, employant alors plusieurs milliers de personnes, à la fin des années 1970 : Denain et Lourches près de Valenciennes, ainsi que Louvroil à côté de Maubeuge. La pauvreté d’un territoire n’est donc pas due au hasard et elle a tendance à se pérenniser (nos gouvernants n’ont rien fait pour ces villes depuis près de quarante ans !). La dernière commune du Nord est Avesnes-sur-Helpe, bourg-centre d’un espace rural en déshérence. Dans les autres départements de France, la forte pauvreté touche une commune du Gard dans l’ancien bassin minier d’Alès, La Grand-Combe, recordman national du déclin démographique depuis les années 19601, ainsi qu’une commune de Gironde, Sainte-Foy-la-Grande, et une commune de l’Aisne, La Fère, ancienne ville de garnison (la caserne a fermé en 1993). Ce sont donc, soit des communes d’héritage industriel, anciennes villes minières ou métallurgiques, soit des bourg-centres d’espaces ruraux en difficulté, correspondant pleinement à la « France Périphérique », mise en avant par le géographe Christophe Guilluy.
Dans le second tableau on découvre avec surprise que Fourmies est mieux classé que Avesnes et soutient la comparaison avec Maubeuge !
NDLR : Cette étude a été réalisée par Atlantico.fr et publiée le 13 septembre 2017 sur son site
Une superbe photo des années 70 ***
Voici une remarquable photo-souvenir comme j'aime en voir. Elle est parue sur une page Facebook de La Voix du Nord accompagnée de cette bien belle histoire :
"Nous sommes en 1972 à Avesnes-sur-Helpe. Sept garçons et sept filles posent avec superbe, chez un photographe, dans un décor très soigné. «Ce qui est trompeur, c’est que les deux personnes assises sont le frère et la sœur aînés», révèle Jean-Pierre Boutillier (debout derrière l’aîné). Ses parents, tout deux agriculteurs, ne figurent donc pas sur le cliché. Parmi leurs 14 enfants, aucun ne reprendra la ferme familiale de Flaumont-Waudrechies. «Mon père ne le souhaitait pas. Il était en quelque sorte visionnaire, et nous a tous donné une situation», raconte notre lecteur. Ils deviendront donc expert-comptable, institutrices... et même journaliste à La Voix du Nord pour l’un d’entre eux. Tous gardant un exemplaire de cette photo. Dernièremenent, son auteur a même confié «je pense que c’est la photo qui a le plus marqué ma carrière".
CARNET DE VOYAGE - Les Hautes Pyrénées (6)
Le Pont Napoléon
et
Le Cirque de Gavarnie
Nous sommes le vendredi 1er septembre et notre séjour à Luz Saint-Sauveur va bientôt se terminer. Une dernière excursion est au programme, sans doute la plus attendue puisqu'elle va nous emmener jusqu'au Cirque de Gavarnie***. Comme depuis le début de ce séjour, le temps est splendide et permettra une fois de plus de prendre de jolies photos-souvenir que je partage avec vous.
Ce pont de pierres fut construit en 1860 par l'ingénieur tarbais Bruniquel, sur décision de l'empereur Napoléon III dont l'épouse L'Impératrice Eugénie "prenait les eaux" aux Thermes de Saint-Sauveur. L'Empereur pensait qu'une arche enjambant le ravin de 70 m de profondeur serait "d'un effet pittoresque". L'objectif étant de désenclaver Saint-Sauveur par l'amont et d'aménager une voie carrossable vers le cirque de Gavarnie qui était déjà à l'époque une excursion très prisée mais périlleuse car les voitures ne pouvaient se croiser sur l'étroit chemin d'accès. La réalisation du pont fut délicate : Une tour en bois de 21m fut édifiée pour soutenir un cintre en bois rigide sur lequel fut bâtie la voûte en maçonnerie.
Pour perpétuer le souvenir du séjour de l'Empereur et de ses bienfaits, la vallée fit élever une colonne de 12mètres en pierre de Lourdes surmontée de l'aigle impérial en marbre de Bagnères
La hauteur du pont permet de pratiquer le saut à l'élastique
Vue depuis le Pont sur la vallée du Gave de Gavarnie.
GAVARNIE
Même si l'on peut se rendre en âne ou à cheval à proximité du site ...
... et bien que le cirque se dévoile déjà très bien à partir du village, je choisis néanmoins la marche pour approcher au plus près de ce monumental spectacle de la nature classé depuis 1997 au patrimoine mondial de l'humanité. Au départ du village de Gavarnie, des balades faciles de 2h à 4h de marche sont réalisables pour découvrir ce site unique au monde.
Depuis le village on distingue déjà très bien quelques sommets et glaciers.
Sur cette autre photo, on aperçoit bien la grande cascade (la plus haute d'Europe). Elle alimente le Gave de Gavarnie que l'on voit ici au premier plan.
Plus on avance et plus ce décor somptueux se déploie sous nos yeux.
Sur les côtés on peut voir des jolis paysages d'Alpage.
A partir d'ici le décor complet est en place, c'est fantastique !
Je m'arrêterai donc au bout d'une heure de marche, le temps de contempler encore et encore ce colosse de la nature qui est entouré de seize sommets de plus de 3 000 mètres. Le spectacle est saisissant, l’émotion garantie. Hélas il faut déjà rentrer au village, là où le car nous attend.
Dans les prairies avoisinantes les colchiques des Pyrénées sont fleuris, l'automne n'est plus très loin.
Mes jambes sont un peu lourdes, alors j'envie ces cavaliers qui eux aussi rentrent au village.
F I N
CARNET DE VOYAGE - Les Hautes Pyrénées (5)
LOURDES
Une fois encore notre opérateur Cévéo avait bien fait les choses en nous réservant sur place le repas de midi dans un ***, l'après-midi étant entièrement consacrée à la visite de Lourdes et des sanctuaires en compagnie de notre guide Marion ou en visite libre selon les convictions religieuses de chacun. Pour cette avant-dernière journée il continue de faire beau et la température est idéale.
J'étais venu ici il y a 60 ans et c'est avec un plaisir chargé d'émotions que je découvre à nouveau ce lieu unique qui ne laisse personne indifférent.
Curieusement l'esplanade n'est pas noire de monde comme je m'y attendais, mais j'apprendrai plus tard que les pèlerins sont bien moins nombreux qu'avant.
L'esplanade vue dans l'autre sens avec le château-fort en toile de fond.
Ici et là on trouve encore des groupes organisés de pèlerins reconnaissables à leur bannière. Ici un groupe des Pays-bas.
Ci-dessus un monument offert par le diocèse de Cambrai (Nord)
La Basilique du Rosaire, la Basilique de l'immaculée Conception, la Grotte de Massabielle et la Basilique Saint Pie x font partie des sanctuaires de ND de Lourdes. Cet ensemble constitue le plus grand lieu de pèlerinage catholique français.
Lieu incontournable, la Grotte des apparitions est visitée par environ 6 millions de personnes par an. C'est à cet endroit que Bernadette Soubirous dit avoir aperçu 18 apparitions de la Vierge Marie en 1858 et où, sur les indications de la Vierge, elle aurait découvert une source d'eau aujourd'hui réputée miraculeuse. Cette eau de source est canalisée et alimente les fontaines, les piscines et le chemin de l'eau. Ici une messe est célébrée et les chants sont repris en chœur par les nombreux fidèles avec beaucoup de ferveur.
Cette autre photo prise depuis un des ponts du Gave nous montre beaucoup de monde à proximité de la grotte...
... En effet, les visiteurs sont canalisés un par un pour y pénétrer. Beaucoup d'entres-eux apposent une main sur la pierre humide et se signent ensuite puis ressortent rapidement afin d'éviter un blocage de la file d'attente.
La basilique de l'Immaculée Conception appelée aussi basilique supérieure a été inaugurée en 1876. De style néo gothique,l'édifice est construit au-dessus d'une crypte qui comprend cinq chapelles (la chapelle Saint Michel abrite une châsse en orfèvrerie conservant des reliques de Sainte Bernadette). Les murs sont entièrement couverts d'ex-votos. Mais cette basilique se révélera très vite insuffisante pour recevoir les nombreux fidèles venant en pèlerinage, ce qui décida les autorités ecclésiastiques à lancer la construction de la basilique inférieure au niveau de l'esplanade, appelée basilique du rosaire. Celle-ci sera consacrée en 1901. Elle peut recevoir 1500 fidèles.
Le dôme extérieur de la basilique du Rosaire appelée aussi basilique inférieure.
Le dôme intérieur
L'intérieur est de style romano-byzantin
L'originalité et la beauté de la basilique du Rosaire de Lourdes réside dans les 15 mosaïques qui s'étalent sur 2000 M2, chef-d'oeuvre du maître mosaïste incontesté du XIXe siècle, G.D Facchina.
Du haut de la basilique du Rosaire on peut découvrir ce joli panorama.
Ce Monument Historique possède une architecture défensive préservée (donjon, pont-levis, herse, échauguette…). Depuis les hauts remparts on peut profiter d’un panorama à 360° sur la ville, les Sanctuaires et les Pyrénées. Au cœur de son enceinte, un musée nous invite à découvrir l’histoire et les cultures des Pyrénées françaises et espagnoles.
Entre la porte Saint-Michel et la Vierge couronnée, l’impressionnante basilique souterraine Saint-Pie X d'une capacité de 25 000 places a été construite entre 1956 et 1958 par le groupe d’architectes Vago, Le Donné et Pinsard. Tout en béton, elle s’étend sous terre sur une surface de 12.000m². c'est un véritable bijou technologique. De très nombreuses messes y sont retransmises sur internet et à la télévision.
Cette basilique, faisant partie des sanctuaires de Lourdes,
fut consacrée le 25 mars 1958 pour le centenaire des Apparitions par le cardinal Roncalli, futur pape Jean XXIII.
C’est ici, au Moulin de Boly, que Bernadette Soubirous naît le 7 janvier 1844. Elle habitera le moulin avec ses parents pendant 10 ans.
Ma visite de Lourdes s'arrête ici. J'ai évoqué plus haut la baisse du nombre de pélerins, et celle-ci a un impact direct sur le commerce local, principalement celui de l'hôtellerie et des boutiques de souvenirs. En effet, une note récente de la sous-préfecture dresse un bilan sévère : entre 2009 et 2014, elle observe une "diminution concomitante" des arrivées (-24 %), des nuitées (-23 %) et du nombre d’établissements (-25 %). Dans cette ville de 15 000 habitants, qui compte 220 magasins de souvenirs et 159 hôtels (4 600 emplois saisonniers), les entreprises touristiques se portent de plus en plus en plus mal. Résultat : chute du "chiffre d’affaires de 9 % et du résultat comptable de 61 %", relève l’étude. Et de craindre à "l’horizon de trois ans" pour l’avenir de 60 hôtels, victimes notamment d’une "spirale déflationniste" avec un prix des nuitées le plus bas de France.
Hélas, j'ai effectivement remarqué que de nombreux hôtels et boutiques sont fermés. Un garçon de café m'a dit ceci : "Avant, des trains entiers arrivaient en gare chargés de pèlerins, ce n'est plus le cas aujourd'hui".
A suivre : Le Cirque de Gavarnie et le Pont Napoléon
CARNET DE VOYAGE - Les Hautes Pyrénées (4)
En matinée, découverte du petit village de Saint-Savin en Lavedan et de son église romane, puis direction vers la Maison du Parc National des Pyrénées située au village voisin de Arrens-Marsous en traversant le très joli Val d'Azun. Retour vers Argeles Gazost.
L'abbatiale de Saint-Savin-en-Lavedan, faisait partie jusqu'à la Révolution d'un monastère bénédictin très influent à l'époque romane. Elle date du XIIème siècle et fut surélevée au XIVème siècle. De l'abbaye il ne reste plus rien si ce n'est l'abbatiale et la salle capitulaire. Elle est classée monument historique depuis 1840.
Le porche roman
A l'intérieur, notre excellente guide Marion nous livre tous les secrets de l'édifice. Le tombeau de Saint-Savin, un sarcophage de style roman, constitue aujourd'hui encore le maître-autel de l'église.
L'orgue anonyme de Saint-Savin fut, pendant quatre siècles, le seul orgue de tout le Lavedan et demeure l'un des plus anciens de France. C'est sous l'administration de François de Foix Candale, Abbé de 1543 et 1593, que fut construit cet orgue, comme le laisse entendre l'inscription peinte au-dessus du clavier.
Le bénitier des cagots date probablement du XVe siècle. Il provient de l'ancienne église paroissiale vendue comme bien national après 1790. Les objets qui sont exposés dans le Musée-Trésor de la salle capitulaire et de la sacristie proviennent pour la plupart du patrimoine cultuel de l’abbaye et de la paroisse de Saint-Savin. Ils restent, pour certains d’entre eux, toujours affectés au culte.
Après la visite de l'église et avant de regagner le car, nous irons à la découverte de ce charmant petit village.
Bien sûr, comme dans tous villages de montagne, l'eau est omniprésente avec moulins, fontaines, abreuvoirs et lavoirs. Ici cette belle fontaine sur la Place centrale crache l'eau de la montagne.
Vue sur la Vallée d'Argeles Gazost
Notre bus prendra ensuite la direction de Arrens-Marsous pour visiter la
Maison du Val d'Azun et du Parc des Pyrénées, puis retour en passant par Argeles-Gazost :
L'église de Arrens-Marsous
ARGELES GAZOST :
Un aspect de la ville haute et de ses commerces.
L'église Saint-Saturnin fut construite dans la deuxième moitié du XIXe siècle. L'intérieur est de style baroque.
Le Parc Thermal du Casino
La plaine de jeux
A SUIVRE : Excursion à Lourdes
CARNET DE VOYAGE - Les Hautes Pyrénées (3)
Visite le matin dans Luz-Saint-Sauveur de la Fabrique de lainages et couvertures "La Carde".
Excursion en car l'après-midi au Donjon des Aigles à Beaucens à 15 kms de Luz Saint-Sauveur.
Visite chez Pierre Sajous, artisan charcutier à Beaucens, spécialiste du Porc Noir de Bigorre. Jambons, saucissons ...
Sortie pédestre en matinée pour la découverte de "La Carde", une petite fabrique de lainage.
C'est le sympathique patron lui-même qui nous accueillera au milieu de ses métiers à tisser et à carder la laine locale. La visite se terminera dans un magasin de vente directe superbement agencé.
Le Donjon des Aigles
Ce château féodal du XIe siècle, remarquablement aménagé, offre un large panorama sur la vallée.
Avant le spectacle, on peut découvrir dans l'enceinte du château la plus prestigieuse collection d'oiseaux de proie du monde entier (plus de 45 espèces). Ci-dessous quelques exemplaires que j'ai réussi à photographier malgré le monde :
Buse commune
Vautour à tête blanche
Aigle bateleur
Ma photo préférée
A 15h30 débute le spectacle :
Les spectateurs sont invités à s'asseoir face au château.
Les rapaces sont lachés depuis le château...
... et sont récupérés par leur dresseur moyennant une récompense alimentaire. Au lendemain de ce spectacle, notre guide nous indiquera que l'un des rapaces n'est pas rentré. Il sera récupéré grâce à la balise de géolocalisation miniature dont il est équipé.
Celui-ci semble venir vers moi au moment où je le photographie. C'est très impressionnant !
Le spectacle se terminera avec l'envol de perroquets et calopsittes recueillies par les enfants dans des paniers en osier garnis de nourriture.
Celui-ci c'est posé au dessus de ma tête sur le mur ou j'étais adossé.
La Charcuterie Pierre Sajous
Au retour, nous nous arrêterons pour une visite chez Pierre Sajous, artisan charcutier à Beaucens, spécialiste du Porc Noir de Bigorre. Jambons, saucissons, pâtés, plats cuisinés viandes.
Le porc noir de Bigorre
La salle de séchage de jambons d'exception
Merci à Pierre Sajous pour son accueil et pour la qualité des produits proposés à la dégustation.
A SUIVRE :
Découverte du village de Saint-Savin et balade en Val d'Azun le matin. Le Pont Napoléon. Visite guidée à Lourdes l'après-midi.
CARNET DE VOYAGE - Les Hautes Pyrénées (2)
Excursion au Pont d'Espagne* (en passant par Coterets)
Nous sommes le lundi 28 août, le temps est splendide. Le bus nous dépose sur le parking de ce site situé à 1500 m d'altitude. Il est célèbre pour son pont et sa cascade. Il fut un lieu de passage pour les échanges avec l'Espagne. Il devient dès le milieu du XIXe siècle un lieu prisé par la haute société, puis à partir des années 1960 un lieu de tourisme de masse. Il est protégé aujourd'hui car il fait partie du Parc National des Pyrénées.
Le Pont d'Espagne (voir ma vidéo plus bas)
La magnifique cascade en amont du pont (voir ma vidéo plus bas)
Ici le seul établissement commercial situé sur le site
Au retour vers Luz-Saint-Sauveur nous traverserons Cauterets qui est à la fois une petite ville thermale et une station de sports d'hiver :
Ici on aperçoit les Thermes
Le Télécabine
La Gare
Avant de rejoindre Luz-Saint-Sauveur, nous nous arrêterons à La Raillère qui dépend de Cauterêts. Cet endroit magnifique est connu pour ses cascades. Il est essentiellement composé de boutiques de souvenirs.
Cascade du Lutour
Ci-dessous une vidéo que j'ai réalisée sur place :
A SUIVRE : Visite du Donjon des aigles avec spectacles de rapaces
CARNET DE VOYAGE - Les Hautes Pyrénées (1)
Comme tous les ans à cette période, je reviens vers vous pour vous faire découvrir quelques-uns de mes déplacements. Cette année c'est dans les Hautes Pyrénées que je me suis rendu, plus précisément à Luz-Saint-Sauveur dans un village-vacances "Cévéo".
C'est au creux de cette magnifique vallée que j'ai posé mes valises.
L'entrée de village de Luz-Saint-Sauveur
Le village-vacances "Cévéo"
Le restaurant panoramique
Une partie des chambres
Vue depuis le parc
Visite guidée dans le village et temps libre sur le marché à proximité de l'église ...
... et dans les petites rues ombragées.
Le portail d'entrée de l'église fortifiée des Templiers
Le Gave de Pau
A SUIVRE DANS LES PROCHAINS JOURS, DIFFERENTES EXCURSIONS INCLUSES DANS LE PROGRAMME CEVEO ET REALISEES EN BUS AVEC GUIDE :
Cirque de Gavarnie, Lourdes, Saint-Savin, Val d'Azun, Donjon des aigles, Argeles Gasost, Cauterets, Pont d'Espagne, Pont Napoléon ...