Cette nouvelle cpsm bien animée nous montre un secteur de cette rue commerçante vers le milieu des années soixante.
Le même endroit de nos jours. Ici comme ailleurs, la plupart des commerces ont disparu pour laisser place à des logements privés ou locatifs.
Samedi je me suis rendu sur le site des Monts de Baives. Voici quelques images de ce que l'on peut découvrir depuis la route (côté Wallers en Fagne). J'ai eu l'impression qu'une tornade venait de traverser ce site boisé qui fut en partie une propriété privée (voir lien en fin d'article).
Sur une barrière on trouve un panneau qui nous livre des explications :
Même si les explications données sur cette "restauration écologique" peuvent convaincre, on peut s'intérroger sur le coût global de l'opération ? Combien d'années seront nécessaires pour régénérer cette parcelle boisée de 8 ha ? A terme sera t'elle pour autant ouverte au public ? (voir ci-dessous). A noter également que les deux photos "avant" et "après" sont loin d'être convaincantes !
De l'autre côté de la route des panneaux indiquent bien qui est le propriétaire des lieux, sans que l'on sache vraiment si ces acquisitions sont accessibles aux contribuables que nous sommes avec bien sûr les restrictions habituelles d'usage ci-dessous :
Par contre, cette photo prise avant les travaux montre effectivement l'utilité d'abattre les résineux qui bordent la parcelle le long de la route pour des raisons de sécurité.
Sur cette vue satellite, j'ai entouré en jaune la parcelle impactée. On constate que les parties boisées seront de moins en moins importantes sur les Monts, y compris sur Baives (voir ci-dessous).
Cette autre photo, prise le même jour sur le Mont de Baives (Côté Baives), montre cette partie qui a été elle aussi débarrassée d'une partie de ses résineux en 2011 (voir lien). Rien n'a été replanté depuis !
Toujours le même jour, cette autre photo prise à proximité de l'ancienne carrière nous montre d'autres résineux qui visiblement ne gènent personne pour le moment !
Liens connexes :
DERNIERES INFOS : Des bénévoles sont sollicités pour nettoyer le site !
EPILOGUE ?
Pour clôturer cet article, et au regard des nombreux commentaires et courriels reçus, il apparaît désormais clairement que la communication n'a pas été satisfaisante. Ce problème a été identifié par les différents partenaires associés à ce projet. Il faut également savoir que le plan de gestion écologique des monts est en cours de renouvellement pour la période 2017-2021 et qu'il est en cours de validation par les services de l'état. Il est bien prévu que des sentiers soient aménagés sur "La Roquette" qui n'a été acquise que début 2016 et nécéssitent des financements spécifiques. Pour le moment seul le site des Monts de Baives est ouvert au public, mais les autres parties acquises seront progressivement ouvertes elles aussi.
Cette jolie photo hivernale des années 60 nous montre un aspect de la rue A. Briand, artère la plus commerçante du village. A cette époque la quasi totalité des immeubles de cette rue sont des commerces.
Cette boucherie tenue dans les années 50 par Georges Triquet, sera reprise dans les années 60 par Edouard Matysko qui la modernisera. C'est aujourd'hui une Étude notariale.
Quelques liens connexes :
Cette jolie photo a été réalisée à l'occasion de la Fête des écoles de 1960. A cette époque la scolarité a été portée de 14 à 16 ans. Ces élèves âgés de 13 ans fréquentent un CEG (Collège d'enseignement général) qui dispense un enseignement moderne court ainsi que des cours complémentaires par des enseignants du primaire, en vue de la préparation du certificat d'études primaires qui a encore la vie dure à cette époque.
C'est à partir de 1963 que sont créés les CES (Collèges d'enseignement secondaire) comportant un " premier cycle" de quatre ans (de la 6e à la 3e) et qui regroupe l’enseignement général long comportant, des sections classiques, moderne (long et court) et transition-pratique (les CEG ne comportant pas de filière classique).
Ensuite, il faudra attendre 1975 pour voir la création du Collège unique sur la base des CEG et des CES.
Description de la photo :
sauf erreur ou omission ont été reconnus :
Au premier rang : R. Nicaise,Legros ?, Traulet ?,Guy Degrelle, François Lossignol et Marc Letoret.
Au second rang : Moronval ?, Gilles Dinant, Yvan Dupont, Marc Talin, Fressancourt ?, Verbist ?.
Derrière les deux premiers rangs : Gaston Visée, Moronval, David Lagneau, Broyart, JJ Lannois, Michel Nachbauer, Michel Pilart, Germain Bernard, René Couturier.
Sur le char des filles : Thérèse Divry et M.P Nicaise.
En cherchant une photo dans mes documents familiaux, j'ai retrouvé cette cpa centenaire datée du 11 septembre 1916. Elle nous montre un beau panorama de la station Climatique de Leysin en Suisse. Au verso on découvre une correspondance de l'un de mes aïeux qui y fut interné comme prisonnier de guerre.
Au 1er mai 1917, 13 640 prisonniers français sont internés en Suisse. Les prisonniers sont logés dans des hôtels ou des pensions. Les repas n’ont au début plus rien à voir avec les repas distribués dans les camps. Les pays des différents ressortissants internés en Suisse doivent continuer à payer pour entretenir leurs prisonniers. La France par exemple doit payer quatre francs par soldat et par jour, six francs par officier et par jour (en ce qui concerne les tuberculeux, les montants s’élèvent respectivement à cinq et huit francs). Très vite, la situation se dégrade, en particulier l’alimentation qui devient insuffisante. Les restrictions, caractéristiques de la vie des camps, sont très mal supportées par les prisonniers internés. Les détenus français pointent le gouvernement du bout du doigt. (Source Wikipédia).
Mon Grand-père Philippe Pavot
Cette carte postale vers les années vingt nous montre ce quartier excentré de Sains du Nord. Il porte ce nom en raison de sa proximité avec le village voisin de Ramousies. A l'origine c'est un coron de maisons ouvrières comme on en trouve encore dans le Sud-Avesnois à proximité d'une usine (voir lien ci-dessous)
Le même endroit de nos jours
Lien connexe :
Voici deux nouvelles cpa de cet endroit situé route de Momignies. La première qui est signée LS à Hautmont est postérieure à 1920, tandis que la seconde (d'un éditeur d'Etrœungt) est peut-être un peu plus ancienne et plus rare.
LIen récent : Cliquer ICI
Cette belle cpa nous montre un nouvel aperçu de cette rue dans les années 70.
Lien connexe :
Le même immeuble de nos jours avec sa pompe à essence d'origine.
Se situant sur le territoire de Trélon et non de Glageon comme il est indiqué sur cette cpa* de 1932 , cet endroit idyllique et particulièrement isolé fut la propriété du filateur Louis Hubinet. Ce dernier l'avait aménagé en un lieu de détente propice à la pêche.
(*) colorisée par mes soins.
Lien connexe :
A l'approche de la Saint Pansard qui se déroulera cette année le dimanche 12 mars, je vous livre quelques photos inédites du début des années 70. Elles ont été prises par Henri Bongibault qui était alors photographe à Trélon.
Un groupe de jeunes devant le Château De Mérode.
Le père de Henri Bongibault s'entretien ici avec le musicien Pierre Duteil.
Pas de noms ici, mais peut-être que certains ou certaines se reconnaîtront.
Comme il se doit, le "pansard" à cette époque a la tête sympathique du bon vivant. Il est accompagné par José Lengrand.
Cette autre photo (1966 ou 1967) m'a été confiée par Jean-Pierre Crépin. Cet ancien Trélonnais porte des bandelettes au visage et se trouve en compagnie de Edouard Matysko à gauche et Paul Mataczynski au centre.
t(Remerciements à Eric Bongibault et Jean-Pierre Crépin)
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